Atelier d’innovation, le jour d’après
Vendredi 9 avril, nous avons présenté devant un jury un projet réalisé en équipe. Le brief nous avait été remis trois semaines plus tôt. Il y avait une vingtaine de livrables à fournir : proposition de marque, business model, maquette, stratégie de lancement… Et un pitch oral de 8 minutes.
L’équipe des rouges, des bleus et des jaunes
Le jour de l’épreuve – distanciel oblige – les trois équipes et le jury se sont retrouvés par écrans interposés, en différents lieux. Le jury était à Sciences Po, les équipes jaune et bleu en mosaïque Zoom. L’équipe rouge a été la seule à pouvoir se réunir (la proximité géographique aidant, il nous a suffi d’un écouvillon dans chaque narine). Mais quel plaisir de se voir tous sur écran et de s’entendre, d’écouter chacune des présentations et de se dire collectivement « bravo, quel beau boulot ! »
L’expérience fut belle
Travailler à distance, c’est s’organiser en fonction du temps et des disponibilités de chacun. C’est passer beaucoup d’heures – vraiment beaucoup – sur Zoom ou Google Meet, composer avec les connexions instables et les micros coupés qu’on croient ouverts. Rien à voir avec le travail de groupe rêvé : chez les uns ou les autres, à la bibli ou au bistrot… Mais le distanciel ne nous a pas empêché de bien bosser, de nous soutenir quand il le fallait et de nous challenger ! Une expérience intense, fatigante et joyeuse en même temps.
La force du collectif
Juste avant la remise du brief de notre atelier d’innovation, nous avions eu une conférence d’Emile Servan-Schreiber sur la force du collectif et le fait que les groupes ont leur propre intelligence. Nous l’avons expérimenté pendant trois semaines. Ce travail en équipe, c’est aussi l’illustration de la puissance de l’intelligence collective. Et on a adoré travailler ensemble !