Nos états d’âme du moment gravitent beaucoup autour de l’échéance qui approche à grands pas : la remise du mémoire le 19 mai.
Pour se motiver, on a aussi en ligne de mire, le même soir, de faire la fiesta. mais bon, on n’en est pas encore là.
Donc, entre deux blagues ou deux contenus de veille digitale que nous partageons sur notre compte WhatsApp, nous évoquons aussi nos doutes, nos angoisses, nos décisions d’en finir (on parle juste ici d’abandonner le mémoire hein !) en attendant de passer à d’autres priorités. Voici donc un petit texte posté ce matin sur notre fil de discussions et qui parle à bon nombre d’entre nous
Chère promo,
Moment d’état d’âme perso sur vous savez quoi 🙂
Alterner entre les phases de doute et les moments d’aisance rédactionnelle, trop rares à mon goût. Souvent l’impression de ramer, d’enfoncer des portes ouvertes, d’écrire des banalités, de ne pas être assez efficace dans mon propos.
Le doute renforce l’exigence mais c’est aussi un poids. Il faut avancer et accepter d’être en partie tributaire du temps de concentration que notre cerveau veut bien nous accorder. Les sollicitations sont nombreuses : le soleil, un café, une pause, une multitude d’onglets ouverts.
La mise en ordre des idées s’organise sans qu’on ait toujours prise sur le temps théorique que l’on souhaitait y consacrer et la réalité. Le rendu finira par apporter une certaine satisfaction, mais pour l’heure je suis bien loin du moment où changer une virgule, un mot, puis peut-être revenir à la formulation initiale, sera l’unique objet de mes journées.Je vous embrasse et à dimanche pour notre apéro Zoom !